Break'in time : la pause éclairée avec l'UCM Liège

« Je n’ai pas le temps, je suis overbooké. De toutes façons, c’est trop tard et en plus cela ne sert à rien ». Ces mots sont déjà sortis de votre bouche, n’est-ce pas ?

Ce sont des excuses ! Elles sont faites pour s’en servir, direz-vous… Mais si vous voulez accomplir de grandes choses (vous lancer dans l’aventure entrepreneuriale, engager du personnel, etc.), il y a deux possibilités. Soit vous trouvez un moyen de réussir, soit vous trouvez une excuse ! Et puis Stendhal (Le rouge et le noir) disait : « Qui s’excuse, s’accuse » (voilà la citation, ça s’est fait).

L’excuse, la définition

Selon Larousse, une excuse est « une raison, un motif, allégué pour se disculper ou se dispenser de quelque chose ». Ces raisons permettent de défendre son comportement, d’éviter d’agir ou simplement de ne pas assumer ses responsabilités. En gros, les excuses sont des justifications externes à un problème interne. « C’est pas moi, c’est le chat ». Oui c’est ça.

Pourquoi trouvons-nous des excuses ?

Parce que nous avons peur ! Peur de l’échec, de faire des erreurs, du succès, de la honte, du changement, des responsabilités, d’un avenir incertain, du jugement des autres. Tout ce qui éloigne de sa zone de confort. L’excuse apporte un sentiment de sécurité. Le manque d’assurance et de confiance en soi empêche l’accomplissement de ses objectifs et tout mouvement vers l’avant. Toute prise de décisions s’accompagne de risques. Etes-vous prêt à les prendre ?

Quelle est votre excuse ?

Je n’ai pas le temps

La plus fréquente et de loin ! Le temps est le même pour tous. Il peut être mal géré, tout est une question d’organisation (ce qui n’est pas évident, c’est sûr). Réorganiser sa vie en mettant des priorités sur les choses les plus importantes est un premier pas vers la solution. Chacun est libre d’accepter ou de refuser des choses, il n’existe pas de règles infranchissables absolues incontournables. C’est maintenant ou jamais. Just do it ! (®)

Je n’ai pas les moyens

« Je ne peux pas me le permettre ». « Je ne peux pas moins travailler car il faut payer les factures ». Nous sommes tous différents, nous n’avons pas tous les mêmes moyens, c’est exact. Mais nous avons également tous des manières différentes de gérer notre argent. Que vaut cette envie, ce besoin dont vous parlez depuis si longtemps ? Combien êtes-vous prêt à investir ? A quoi devrez-vous renoncer ? Peut-être que la stratégie ou l’idée n’est simplement pas la bonne. Chercher plus loin que d’invoquer le manque de moyens est un pas vers la responsabilisation.

Je ne sais pas comment faire

Simple comme bonjour, il suffit de prendre le temps d’apprendre ! Lire, demander des conseils, ne pas avoir peur d’aller vers les autres. Des tas de ressources existent en ligne et elles sont gratuites. A l’UCM, nous vous conseillons aussi ! Il suffit de faire le premier pas et oser demander de l’aide. Et si vous ne trouvez pas le temps, reportez-vous au point 1 (Je n’ai pas le temps). Si vous n’avez pas les moyens, point 2 (Je n’ai pas les moyens).

Je n’en suis pas capable

« Je n’ose pas me lancer comme indépendant. Je vais essayer d’abord en complémentaire, voir comment cela se passe ». C’est dommage de passer à côté de la chance de votre vie (peut-être) parce que vous pensez que vous n’en êtes pas capable. Et si vous l’étiez ? Et si vous vous donniez l’autorisation d’essayer, d’échouer et de recommencer jusqu’à réussir ? Les personnes qui suivent leur cœur (c’est beau ça) regrettent rarement leur choix, que ce qu’elles ont fait ait satisfait leur envie ou non. Et les regrets dans la vie… Bref vous savez.

Quelques motivational quotes (citations) pour la fin (parce qu’il en faut)

  • « Les excuses sont les clous qui servent à construire la maison de l’échec »
  • « Si vous attendez que les conditions parfaites soient réunies, vous ne ferez jamais rien de votre vie ».
  • « Les excuses seront toujours là pour vous. Les opportunités, non ».
  • « Je peux pas… Je suis déjà en pyjama/J’ai (aqua)poney » (biffez la mention inutile)

Et maintenant y’a plus qu’à !